Les actualités

Procédures collectives d’une société étrangère : une limite pour le privilège de juridiction français ?

Publié le 25/Jul/2024 00H00 dans Actu Juridique

Sauf exception, un Français peut poursuivre un étranger devant le juge français afin d’obtenir l’exécution de ses obligations à son égard. C’est ce que l’on appelle le « privilège de juridiction ». Dans ces conditions, un créancier français peut-il demander au juge français de mettre en procédure collective une entreprise étrangère, sans siège ni intérêt en France ? Pas si sûr…

Transformation d’une société et rapport d’évaluation : quelle approbation ?

Publié le 24/Jul/2024 00H00 dans Actu Juridique

Lorsqu’une société est transformée en société par actions, un rapport sur la valeur des biens composant son actif et sur les avantages particuliers doit être établi. Ce rapport doit être ensuite approuvé de façon expresse par l’assemblée des associés. La lecture du rapport juste avant de voter favorablement la transformation de la société est-elle suffisante ?

Vente de titres de société : renoncer à une partie du prix de vente et diminuer l’impôt dû ?

Publié le 24/Jul/2024 00H00 dans Le coin du dirigeant

Un associé vend une partie des titres qu’il détient au sein d’une société et paie l’impôt sur la plus-value correspondant. Parce qu’il renonce à percevoir une partie du prix de vente par la suite, il demande une réduction du montant de l’impôt payé au titre de la plus-value. Ce que lui refuse l’administration fiscale… Pourquoi ?

Reconstitution de chiffres d’affaires : une méthode alternative à prendre en compte !

Publié le 23/Jul/2024 00H00 dans Actu Fiscale

Une entreprise, qui exploite un restaurant, fait l’objet d’un contrôle qui aboutit au rejet de sa comptabilité, jugée non probante par l’administration. Cette dernière va alors reconstituer son chiffre d’affaires pour déterminer son résultat imposable, en suivant une méthode de calcul contestée par l’entreprise… qui en propose une autre… sur laquelle l’administration ne se prononce pas…

Action devant les prud’hommes et délai pour agir : un cas de prescription particulier

Publié le 18/Jul/2024 00H00 dans Actu Sociale

Un salarié saisit le conseil de prud’hommes pour réclamer la résiliation judiciaire de son contrat de travail. 2 mois plus tard, il est licencié pour motif économique. 2 ans plus tard, toujours en litige devant le conseil de prud’hommes, il conteste son licenciement économique. Alors que le délai de contestation qui lui est offert n’est que d’un an, conteste l’employeur. Vraiment ?

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