En effet, ce qui est considéré à tort comme une modernisation et une simplification du dialogue social, représenterait notamment pour les chefs d’entreprises de ces TPE :
- des lourdeurs administratives et, inévitablement, de nouveaux contentieux ;
- un empiètement sur les missions et actions des branches professionnelles ;
- des effets négatifs sur l’emploi de ce type d’entreprises qui, rappelons-le, ont créé près de 1 200 000 emplois sur les trente dernières années.