Il est inadmissible que la liberté de manifester se transforme en permis de casser et d'empêcher ceux qui le veulent de travailler.
Les commerçants de centre-ville, en particulier dans l'ouest de la France, sont particulièrement frappés. Ils ne sont plus les seuls et c'est désormais l'ensemble de l'activité économique de notre pays qui risque de subir l'impact de mouvements qui pénalisent aussi bien les PME que leurs salariés.
Il est temps de mettre fin aux outrances dans les mots ou les actes. Respecter ceux qui travaillent devrait être la priorité de tous.